EGW-NewsLa bataille juridique entre Pokémon et Palworld touche à sa fin après le rejet d'un brevet.
La bataille juridique entre Pokémon et Palworld touche à sa fin après le rejet d'un brevet.
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La bataille juridique entre Pokémon et Palworld touche à sa fin après le rejet d'un brevet.

Le litige juridique qui dure depuis un an entre The Pokémon Company, Nintendo et Pocketpair (le studio à l'origine de Palworld) semble toucher à sa fin. Le tribunal de district de Tokyoa officiellementrejeté la demande de brevet de The Pokémon Company concernant le système de collection de créatures, invoquant un manque d'innovation.

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Selon la décision, le tribunal a constaté que des mécanismes similaires existaient depuis longtemps dans d'autres jeux, notamment ARK: Survival Evolved, Monster Hunter 4, Craftopia, Kantai Collection et même Pokémon GO.


La collection de créatures n'a pas commencé avec les Pokémon.

Historiquement, le concept de capture et de contrôle de créatures dans les jeux de rôle est antérieur de plusieurs années à Pokémon. La série Shin Megami Tensei fut l'une des premières à proposer la collection de démons, suivie plus tard par Digimon. Malgré cela, l'immense succès mondial de Pokémon a conduit beaucoup à lui attribuer, à tort, l'origine de cette idée – une méprise que la décision du tribunal met indirectement en lumière.

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Les chances de Pocketpair semblent solides

Bien que la procédure judiciaire soit techniquement toujours en cours et susceptible d'appel, les experts estiment que Pocketpair n'a désormais plus grand-chose à craindre. Le chef de la plainte ayant été rejeté, toute action future devrait tourner à l'avantage du studio indépendant. Si l'affaire se poursuit, la société pourrait même prétendre à des dommages et intérêts pour préjudice moral, une décision provisoire ayant déjà été rendue en sa faveur.


Cette décision marque un moment important non seulement pour Pocketpair, mais aussi pour l'ensemble du secteur du jeu vidéo, réaffirmant que les mécanismes de genre et l'inspiration créative peuvent coexister sans appartenir à une seule franchise.

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