En Amérique, une ressource a été créée pour les clients qui ont perdu de l'argent à cause de FTX
Le bureau du procureur américain du district sud de New York a participé à la création d'une ressource pour les utilisateurs touchés par la faillite de FTX. Cela a été fait pour que les victimes de l'échange de crypto-monnaie américain puissent postuler et aider à l'enquête sur le crash de FTX.
Une fois la demande traitée, les personnes seront contactées par le coordonnateur des victimes et des témoins. Selon les estimations préliminaires, il y a déjà plus de 1 000 000 de personnes. C'est ce grand nombre de personnes qui a poussé le bureau du procureur américain à vouloir créer une page pour les victimes qui pourrait soumettre des demandes pertinentes et aider le bureau du procureur dans l'affaire FTX.
Le processus d'examen de la faillite de l'échange de crypto-monnaie américain se déroule séparément des processus en cours concernant Sam Bankman-Fried et d'autres dirigeants de FTX. La prochaine audience de mise en faillite est prévue le 11 janvier.
Les autorités des Bahamas ont réussi à attraper Sam Bankman-Fried. Après avoir purgé une peine dans ce que beaucoup considèrent comme l'un des pires endroits où être en prison, l'avocat a négocié une caution de 250 000 000 $ pour le SBF. Aujourd'hui, Bankman-Fried est assigné à résidence et refuse d'admettre sa culpabilité.
Notamment, le co-fondateur de FTX, Gary Wang, a plaidé coupable, tout comme Caroline Ellison, PDG d'Alameda Research. Sam est accusé d'avoir utilisé l'argent des clients de FTX pour rembourser les prêts d'Alameda Research.
Sam Bankman-Fried, qui a beaucoup d'argent, a pu se permettre un tel avocat, qui a probablement convaincu le SBF qu'il pourrait être acquitté au procès et pour cette raison l'ex-chef de FTX n'admet pas pleinement sa culpabilité. Si, au final, Bankman-Freed n'est pas acquitté et reçoit une sanction, il passera alors plusieurs décennies derrière les barreaux. Le monde n'a jamais vu de telles situations dans le domaine des crypto-monnaies.
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